Le Canada fait face à de sérieux défis avec l’arrivée de milliers de demandeurs d’asile, a prévenu la télévision de la CBC.
Depuis le début de 2017, plus de 30 000 personnes ont franchi la frontière des États-Unis pour se réfugier ici, ce qui, selon la récente enquête Angus Reid, constitue pour la plupart des Canadiens une crise.
Seulement au Québec, le nombre de migrants qui ont franchi la ligne de démarcation a triplé au cours de la dernière année, ce qui a provoqué une demande d'aide du gouvernement fédéral.
Il en va de même pour l’Ontario, particulièrement en ce qui concerne le délai accordé à des centaines de réfugiés à Toronto pour qu’ils quittent des abris temporaires dans les centres collégiaux au cours de la période estivale.
La CBC a souligné que construire un mur le long de la frontière avec les États-Unis ou les renvoyer n’est pas une option, suggérant qu’il existe des moyens de réduire l’afflux d’immigrants.
L'une d'elles est que les messages doivent être clairs: arriver au Canada par des moyens irréguliers et demander l'asile ne constitue pas une garantie d'entrée.
Selon de la Commission de l' immigration et du statut de réfugié Conseil du Canada, ils ne seront acceptés que environ 47 pour cent des demandes de ceux qui sont entrés depuis le début de 2017 jusqu'à Mars 2018.
Peut-être l'ère du rêve américain arrive à sa fin, Comme le montre le nombre de demandeurs d'asile des États-Unis, l'article a souligné.
Récemment, le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a déclaré que la situation était gérable.
Cependant, un sondage (réalisé par Abacus Data) a révélé que le problème risquait de compromettre sérieusement les chances de réélection des libéraux en 2019.
Parmi les 57% qui préconisaient un autre gouvernement, 42% ont cité Une des raisons pour lesquelles ils veulent un changement.
Seulement au Québec, le nombre de migrants qui ont franchi la ligne de démarcation a triplé au cours de la dernière année, ce qui a provoqué une demande d'aide du gouvernement fédéral.
Il en va de même pour l’Ontario, particulièrement en ce qui concerne le délai accordé à des centaines de réfugiés à Toronto pour qu’ils quittent des abris temporaires dans les centres collégiaux au cours de la période estivale.
La CBC a souligné que construire un mur le long de la frontière avec les États-Unis ou les renvoyer n’est pas une option, suggérant qu’il existe des moyens de réduire l’afflux d’immigrants.
L'une d'elles est que les messages doivent être clairs: arriver au Canada par des moyens irréguliers et demander l'asile ne constitue pas une garantie d'entrée.
Selon de la Commission de l' immigration et du statut de réfugié Conseil du Canada, ils ne seront acceptés que environ 47 pour cent des demandes de ceux qui sont entrés depuis le début de 2017 jusqu'à Mars 2018.
Peut-être l'ère du rêve américain arrive à sa fin, Comme le montre le nombre de demandeurs d'asile des États-Unis, l'article a souligné.
Récemment, le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a déclaré que la situation était gérable.
Cependant, un sondage (réalisé par Abacus Data) a révélé que le problème risquait de compromettre sérieusement les chances de réélection des libéraux en 2019.
Parmi les 57% qui préconisaient un autre gouvernement, 42% ont cité Une des raisons pour lesquelles ils veulent un changement.
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